Albums

 

 

 

 

Les albums des Doors ont été produits par Paul Rothchild et le jeune Bruce Botnick.

 

A partir de l’album L.A. Woman ils seront produits par Bruce, seul. Paul Rothchild ayant démissionné.

 

Paul décèdera en 1995.

 

 

The Doors (janvier 1967)

L’opéra prima des Doors ne fut pas seulement l’un de leurs disques les plus remarquables, mais aussi une authentique révolution musicale dans le contexte où il est né. C’est un mélange de blues et de rock à la personnalité débordante, avec une virtuosité musicale dépurée et une voix sombre et puissante. Ce sont des chansons solides, avec la différence caractéristique du son du clavier de Manzarek et le lyrisme dramatique des paroles de Morrison. Cependant, le plus grand succès du disque, « light my fire » revient à Krieger. Bien d’autres chansons du disque sont des grands classiques du groupe, mais c’est dans « the end » (inspiré du complexe d’Œdipe de Freud), où s’exprime le mieux tout le potentiel des Doors et où l’on trouve la plus grande dose de magie et de destruction de la part de Morrison.

Strange Days (octobre 1967)

Le deuxième album des Doors est une suite du premier, ce qui n’est pas peu dire. « People are strange » est l’une des chansons les plus représentatives et aussi l’un des plus grand succès de l’album. « Love me two times » de Krieger a aussi été un succès en tête de liste des charts. Le disque est intense et très bon du début à la fin, même s’il est un peu sombre et chargé.

Waiting For The Sun (juillet 1968)

A la différence des deux premiers albums, celui-ci fut un disque très travaillé en studio. La production était brillante, mais le contenu un peu moins, sans doute parce que le groupe avait dû épuiser sa source d’inspiration, et il manquait de nouvelles chansons. Le titre n°1, « hello, I love you », est une chanson légère pour le son habituel du groupe. Il contient aussi le fameux plaidoyer contre la guerre au Vietnam, « the unknown soldier » et le morceau devenu un standard des Doors, « five to one ». Paul Rothchild avait refusé à Jim, de mettre la version intégrale de « the celebration of lizard », qui fut réduit à « not to touch the earth ».

 The Soft Parade (juillet 1969)

Cet album a toujours été considéré comme l’un des disques les plus médiocres des Doors (quoique pure merveille !). Les quatre chansons de Krieger : « tell all the people »,«touch me »,« wishful, sinful » et « shaman’s blues » étant d’influence un peu trop jazz pour Jim, il exigera que chacun signe ses propres compositions sur ce disque.

Morrison hotel (février 1970)

On observe une nette amélioration musicale par rapport aux deux albums précédents. Il suffit d’écouter au début le puissant « Roadhouse blues », pour se rendre compte de la récupération de l’énergie du groupe. Dans l’album, que certains connaissent comme la face B « hard Rock café », Jim parle beaucoup de sa compagne Pamela.

 Absolutely Live (1970)

Enregistré à Philadelphie, Los Angeles et New York. Le mixage demandera du temps. Il contient toute la virtuosité des Doors comme musiciens, les improvisations de Morrison et la capacité du groupe à le suivre et à s’y adapter. On y trouve une brillante version de « who do you love », ainsi que l’intégrale de « the celebration of the lizard » et une surprenante version de « gloria » de Van Morrison.

L.A. Woman (avril 1971)

Sans doute le meilleur album du quatuor. C’est un magnifique adieu du groupe et, en définitive, l’un des plus grands albums de l’histoire du rock. Que peut-on en dire ? Le début avec « the changeling » donne sa grandeur au disque, « cars hiss by my window » est le blues qui donne la chair de poule, « L.A. woman » est un bel hommage à la ville de Los Angeles, et le sublimissime « rider on the storm » est un grand classique de l’histoire de la musique moderne.

Other Voices (octobre 1971)

et

Full Circles (juillet 1972)


Ces deux albums sans Morrison n’ont pas vraiment rencontré un franc succès (bien que très bons !).

Le trio finira par se séparer en 1973.

An american prayer (novembre 1978)

Sept ans après la mort de Jim Morrison, les membres restant du groupe décidèrent de se remettre au travail. Pour son 27 ème anniversaire, Jim s’était enfermé pendant quatre heures dans un studio d’enregistrement, avec des amis et quelques bouteilles, pour y réciter ses poèmes. Les derniers Doors mirent un fond musical à toute la poésie inédite de Jim. Le disque reçut tous les honneurs comme s’il s’agissait d’un nouvel album des Doors et fit un grand succès commercial.

The Doors concerto

D'origine Britannique, musicien, auteur-compositeur et producteur de musique néo-zélandais ; Jaz Coleman est connu pour son rôle de chanteur et leader charismatique au sein du groupe de post-punk-metal : Killing Joke. Il a en outre composé des œuvres pour orchestre symphonique (ici, il reprend magistralement la musique des Doors).

Night divides the day

George Winston nous offre une suite de solo au piano reprenant les standards des Doors. Une interprétation qui sait rendre hommage au talant d’écriture de nos quatre californiens.

Mais aussi des enregistrements d’interview, des compils, des best of, des coffrets…

 

Sans oublié la multitude d’albums live …

 

Ou encore des albums tribute ou pirate …

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Revues, affiches, tickets, ...

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A suivre :

Pam et Jim

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